Article de "Que choisir" sur les audioprothésistes

Juste un petit billet car je n’ai pas vraiment le temps en ce moment: vous allez bientôt découvrir dans le prochain numéro du mois d’octobre 2009 de "Que choisir" un dossier complet sur les audioprothésistes et les aides auditives.

Juste un petit billet car je n’ai pas vraiment le temps en ce moment: vous allez bientôt découvrir dans le prochain numéro du mois d’octobre 2009 de « Que choisir » un dossier complet sur les audioprothésistes et les aides auditives.

Comme vous pouvez vous en douter, tous les ingrédients d’un film bien connu sont réunis: les méchants (devinez), les gentils, et ceux qui veulent aider les gentils face aux méchants (devinez aussi)…

Bref, difficile de trouver le salut là-dedans, mais tout n’est pas à jeter…

Je l’avais déjà évoqué, une seule solution: sortir par le haut !

Et juste une petite précision pour le(s) journaliste(s): comprendre dans le bruit « comme avant » avec une perte auditive neurosensorielle relève de la gageure… et ne devrait pas servir de mètre-étalon. On n’en demande pas tant à une dégérescence rétinienne en optique !!

XD.

Auteur : xavdelerce

Audioprothésiste D.E. membre de la SFA, membre du CNA, créateur du https://leblogaudiologie.com/

13 réflexions sur « Article de "Que choisir" sur les audioprothésistes »

  1. Ce qui me rassure c’est que tous les métiers passent à la moulinette et qu’un signal fort émerge à chaque enquête : tous des salops ! Ce qui me rassure ce sont les renouvellements que je fais jour après jour… la confiance des gens renouvellées ! Pour les lunettes, ca m’agace… il compare les carottes et les choux… 3,7 milliards d’euros de CA pour l’optique… 650 millions d’euros pour l’audio…. 12000 opticiens…. 2750 Audios… et des métiers et des prérogatives foncièrement différentes…

    Je suis un peu énervé, je sens qu’on va encore nous traité de nantis… alors je m’arrête là !

  2. Je suis d’accord avec toi Sébastien quand tu dis « paumé », c’est un peu ce que je ressens après une claque comme celà. Il me reste à me resourcer dans ma campagne avec mes clients !
    D’accord aussi avec ce moins-disant tarifaire: c’est une mauvaise démagogie de journal de consommateur. Il faut aussi accepter de payer un certain prix pour un service: du personnel compétent et présent, du matériel récent, la formation continue, des locaux corrects, etc… celà a un coût (mais pas un surcoût).
    Ce qui me « tue » dans ce genre d’enquête c’est aussi le prix ENOOORME et le service minable, le matériel obsolète, le bureau pas net, le conseil « commercial », … même si la secrétaire est gentille!
    Le client voit TOUT, même s’il ne le sait pas. Il saura s’en souvenir si les résultats sont tangeants.
    A Thibeau: bienvenu à toi sur le blog! Enfin de la relève 😉

  3. « Technologie en perpétuelle évolution, rapport qualité/prix insuffisant, marché opaque… Un long chemin reste encore à parcourir avant que l’achat d’une aide auditive soit aussi simple que celui d’une paire de lunettes. »

    Telle est l’introduction de la présentation de l’article, version web. Si l’achat d’une paire de lunettes était aussi simple que ça, je me demande bien pourquoi on aurait besoin de 2 ans d’études après le bac pour les proposer. « Que choisir » veut faire dans la critique du matériel de santé, mais n’est déjà pas une référence lorsqu’il s’agit de comparer du matériel informatique, de bricolage, de jardinage … L’étendue du « domaine de compétence » du magazine laisse rêveur et suffit à ne lui prêter que peu de crédit.
    Mais évidemment, l’impact des médias sur le grand public étant ce qu’il est …

  4. Le problème du service, c’est qu’il est légal et formaté, quelque soit l’aide auditive ! On joue à la marge avec certains produits, dont on peut calculer le « RECD » (;-)), ou avec un réglage in vivo qui modifie sérieusement le résultat mais qui ne sont pas discriminant pour les clients !

    Alors il reste le sourire, l’écoute qui ne sont pas quantifiable pécunièrement…

    Je suis un peu paumé… De toute manière, j’ai l’impression qu’aujourd’hui, quelquesoit le métier, nous sommes en déflation, avec pour objectif la recherche du moins disant !

  5. Certes, sur certains points l’article n’est pas allé assez loin. Et toujours cette idée que le prix le plus bas est « une référence », en évoquant à peine le service…
    Mais il y a aussi des points à méditer (choix éclairé du consommateur, remise du devis normalisé, promesses irréalistes…).

  6. Je tremble…. Alors à la liste des journaux à ne plus lire, j’ajoute « que choisir »…. En passant, un de mes clients avait reçu un questionnaire assez détaillé de la part de que choisir en Juillet dernier… J’avais lu les grilles d’évaluation… très subjective…

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