Vous aviez peut être répondu, par l’intermédiaire de ce blog, au sondage réalisé l’année dernière par Mme Capucine MARMORAT qui faisait alors une collecte d’informations sur la pratique de la mesure in vivo en France dans le cadre de son mémoire de D.E. d’audioprothèse. Certains d’entre-vous ont également répondu à […]
Autant un écouteur vieillissant, un circuit défaillant, un bruit de fond quelconque sont faciles à détecter (BDF, distorsion harmonique ou d’intermodulation, etc.), autant la panne d’un microphone arrière est assez délicate à percevoir. C’est pourtant une panne très handicapante pour le patient, car il n’y a plus de directivité dans […]
A ma gauche, papy, en pure galalithe, rétractable en 3 parties, garanti 100% analogique. Période environ début XXème :
Nul n’est censé ignorer la loi. Encore moins lorsque les lois qui régissent notre profession, comme d’autres professions para-médicales (j’insiste…) sont finalement peu nombreuses et très claires.
J’avais déjà abordé ce sujet dans un ancien billet. L’éventualité d’avoir à apporter la preuve de l’efficience d’un appareillage auditif n’est pas exclue dans le futur; de même que la justification du choix d’un modèle face à un financeur (les temps sont durs…). Il faudra donc peut être un jour démontrer l’efficacité des divers systèmes de décalages fréquentiels et d’argumenter nos choix prothétiques. Mais sans y être contraints par qui que ce soit, nous pouvons (simple curiosité) avoir envie de constater l’efficacité de ces systèmes, ou de les démontrer à nos patients.